Nouvelle hausse de la dépense de formation professionnelle en 1998
- 1 novembre 2000
- Dares Résultats N°44.1
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
10 résultats
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
L’année 1999 est de nouveau marquée par un recul du nombre de contrats emploi-solidarité (CES) conclus (447 000 conventions, soit 7 % de moins qu’en 1998) et une forte augmentation des contrats emplois consolidés (CEC) (129 000 conventions, en hausse de 23 %).
Entre 1997 et 1998, le nombre de travailleurs handicapés dans les établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés est resté stable.
En 1993, 37 % des établissements concernés satisfont pleinement à l'obligation d'emploi de salariés handicapés qui implique, pour chaque établissement de 20 salariés ou plus, de compter au moins 6 % de salariés handicapés.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.
En 1991, l'activité des Commissions techniques d'Orientation et de Reclassement Professionnel (COTOREP) est restée soutenue : 700 000 dossiers ont été examinés.
En 1992, un tiers environ des établissements soumis à l'obligation d'emploi de salariés handicapés respecte ou dépasse le taux légal d'emploi de 6 %. La grande majorité recourt aux alternatives légales à l'obligation d'emploi.
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.
Sans aborder le problème de l'évaluation, sont comparées ici les expériences de quatre pays européens en matière de recours aux subventions, de la seconde moitié des années soixante-dix à la fin des années quatre-vingt : la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Suède.