Évaluation et analyse coût-bénéfice du programme EMILE
- Le 20 décembre 2019
13 résultats
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1986 à 182,4 milliards de francs, en augmentation de 7,5 % en Francs courants et de 4,7 % en Francs constants par rapport à l'année précédente. Ce dernier taux est comparable à celui observé en 1985 (+4,6 %).
Près de 36 000 personnes ont bénéficié en 1986 d'un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée, c'est-à-dire inscrits depuis un an au moins à l'ANPE ou en situation de chômage répétitif.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.