Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
11 résultats
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2005, 260 400 nouveaux contrats d’apprentissage ont été enregistrés dans le secteur marchand. La hausse a été de près de 6 % en un an, une progression comparable à celle de 2004.
Fin 2001, 2 128 structures d'insertion par l'activité économique, conventionnées par les préfets, étaient en activité en France, nombre en légère baisse par rapport à l'année précédente.
Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.
Des difficultés causées par l'absence de candidat pour le profil recherché ou par l'existence de fortes tensions dans la zone d'emploi de l'entreprise.
Les jeunes sont prédominants dans les embauches : ils sont plus nombreux à s'insérer sur le marché du travail et sont recherchés par les employeurs qui trouvent qu'ils s'adaptent plus ou que l'embauche de seniors ne permet pas d'équilibrer leur pyramide des âges.
Entre janvier 1999 et février 2000, les jeunes de 16 à 25 ans ont accédé à peine plus que les adultes de 30 à 49 ans à la formation continue.
En 2000, dans un contexte de fort recul du chômage, la politique spécifique de l'emploi s'est traduite par une baisse des entrées dans les dispositifs et du nombre de leurs bénéficiaires.