Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
75 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
Pour une majorité des personnes en recherche d’emploi ayant suivi une formation en 2019, cette dernière a été l’occasion d’acquérir non seulement des compétences techniques spécialisées, mais également des compétences plus transversales.
Entre 2010 et 2017, 340 000 personnes sont entrées en contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) chaque année.
Le contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) améliore très légèrement les chances de trouver un emploi. Trois ans après l’entrée en contrat aidé, 61 % des bénéficiaires sortis de contrat sont en emploi non aidé.
Le comité scientifique d’évaluation du Plan d’investissement dans les compétences (PIC) a publié un premier rapport en octobre 2020 pour présenter le plan et ses enjeux. Ce deuxième rapport permet d’en faire un premier bilan, à mi-parcours d’un horizon de cinq ans.
Une personne en recherche d’emploi sur 10 inscrites en formation professionnelle en 2019 l’a abandonnée avant son terme.
En 2020, 984 000 formations sont suivies dans le cadre du compte personnel de formation (CPF) contre 517 000 un an auparavant. Cette forte hausse s’explique par l’ouverture fin novembre 2019 du « parcours achat direct » (PAD).
En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.