Le chômage partiel en baisse de 2,3 % en 2003
- 12 novembre 2004
- Dares Indicateurs N°47.1
En 2003, 2,56 millions de journées de chômage partiel, concernant 220 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
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En 2003, 2,56 millions de journées de chômage partiel, concernant 220 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
Les collectivités territoriales se désengagent progressivement parmi les employeurs au profit des associations et des établissements publics.
En 2003, le nombre d'entrées dans les contrats initiative emploi (CIE) progresse de 25 %, pour s'établir à 65 000.
En 2002, de très nombreux acteurs prennent ainsi en charge, en partie ou en totalité, certains des dispositifs d'emploi et d'insertion.
Dans un contexte de baisse de du chômage, l’enveloppe financière affectée aux contrats emploi-solidarité (CES) a diminué tandis que celle des contrats emplois consolidés (CEC) augmentait pour offrir une insertion plus durable aux plus exclus.
Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
En 1999, la dépense pour la formation professionnelle s’élève à 144,7 milliards de francs, soit un doublement depuis 1987.
L’analyse des accords conclus entre employeurs et représentants des salariés au premier trimestre 2001 montre que 13 % des entreprises reprennent les négociations salariales après une période de gel des rémunérations consécutive à la réduction du temps de travail.
Depuis la mise en place de la mesure en 1997, les embauches exonérées de cotisations sociales patronales dans les établissements en ZRR et ZRU ont progressé de manière continue pour atteindre progressivement 14 300 et 4 400 embauches en 2000 (hors DOM).
Depuis la promulgation de la loi du 13 juin 1998 d'incitation à la négociation de la réduction du temps de travail, l'activité conventionnelle des entreprises a connu un développement considérable.