Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
La dimension territoriale est tout aussi importante que la dimension du métier pour caractériser l’écart entre l’offre et la demande d’emploi.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
En fin d’année 1999, dans les établissements de 10 salariés ou plus, les flux des entrées sorties de salariés continuent à grossir, en lien avec la situation favorable du marché de l’emploi.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
Les entrées et les sorties de personnel, dans les établissements de 10 salariés ou plus, sont des mouvements très saisonniers sur l’année.
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
La poursuite de la croissance économique se traduit par une hausse des mouvements de personnel au premier semestre 1999.
En 1997 et 1998, les mouvements de main-d’oeuvre se sont amplifiés, ce qui est une conséquence directe de la reprise de l’activité économique.