Conjoncture de l'emploi et du chômage au 3e trimestre 2005
- 27 décembre 2005
- Dares Indicateurs N°52.2
Au 3e trimestre de 2005, l’activité économique rebondit à +0,7 %.
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Au 3e trimestre de 2005, l’activité économique rebondit à +0,7 %.
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Au 1er trimestre de 2005, l’activité économique ralentit à +0,2 % (+1,7 % en glissement annuel).
Au 4e trimestre 2004, la croissance reprend son cours (+0,8 %) après sa faiblesse du trimestre précédent.
Au 3e trimestre de 2004, la croissance a connu une faiblesse (+0,1%) qui ne paraît pas remettre en cause le processus de reprise, dont l’emploi salarié des secteurs marchands continue de profiter modestement avec +8 000 postes créés.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
En juillet 1993, 10,5 % des ouvriers ont reçu une augmentation de salaire (données CVS) marquant ainsi un arrêt du redressement constaté depuis le mois d'avril.
La sensibilité d'une zone d'emploi aux problèmes de l'emploi et du chômage revêt différents aspects : fragilité de l'appareil productif, déficit en main-d'œuvre qualifiée, déséquilibre démographique ou migratoire.
En juin 1993, 13,2 % des ouvriers et des employés ont bénéficié d'une augmentation de salaire (données CVS). Ces chiffres confirment ceux que l'on enregistre depuis le mois d'avril et qui rompent avec le mouvement brutal de baisse de premier trimestre.
Le rythme de croissance de l'économie française en 1991 (1,6 %), bien que supérieur à celui de 1991, s'est ralenti progressivement au cours de l'année.