BFM Business : la France vit-elle une "grande démission" ?
- 23 août 2022
Michaël Orand répondait aux questions de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, dans Good Morning Business, sur BFM Business, ce mardi 23 août.
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Michaël Orand répondait aux questions de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, dans Good Morning Business, sur BFM Business, ce mardi 23 août.
Jusqu’en 2005, les statistiques produites par la Dares sur les grèves étaient établies à partir des signalements effectués par l’inspection du travail.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
Pour faire face aux creux et aux pics d'activité, les employeurs recourent principalement aux heures supplémentaires, aux CDD et à l'intérim.
Le recul est surtout sensible dans les grandes entreprises : la part de jours de grève décomptés dans les entreprises de plus de 500 salariés recule de 49 % en 2000 à 41 % en 2001.
Au troisième trimestre 2001, la mobilité des salariés reste élevée, bien qu'en légère diminution sur un an.
Le troisième trimestre 1997 vient clore une période d’une année environ de croissance modérée de l’emploi.
En 1994, le niveau de la conflictualité reste à la fois faible et stable. Par rapport à 1993, les grèves ont été un peu plus fréquentes, plus courtes, avec un taux de participation toujours élevé malgré la légère baisse des effectifs ayant cessé le travail.
En 1993, les conflits du travail repassent au-dessus de la barre du demi million de journées non travaillées. Les grèves ont été moins fréquentes mais plus longues, avec une absence presque totale de conflits généralisés.