Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
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Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Plus que d’apporter une appréciation stabilisée des résultats du dispositif, l’objectif de ce rapport intermédiaire est de repérer déjà les marges d’amélioration possible en vue de la généralisation.
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
464 000 contrats aidés ont débuté en 2015, 347 000 dans le secteur non marchand et 117 000 dans le secteur marchand.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
A la fin du 1er semestre 2000, un peu plus de 27 000 jeunes, embauchés entre 1997 et 1999 (hors Education nationale et Police nationale), étaient sortis du programme « nouveaux services-emplois jeunes ».
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
L’année 1999 est de nouveau marquée par un recul du nombre de contrats emploi-solidarité (CES) conclus (447 000 conventions, soit 7 % de moins qu’en 1998) et une forte augmentation des contrats emplois consolidés (CEC) (129 000 conventions, en hausse de 23 %).
Entre octobre 1998, date de lancement du programme Trace, et décembre 1999, près de 42 000 jeunes ont intégré le dispositif.
Le programme Trace (TRajectoires d’ACcès à l’Emploi), inclus dans la loi d’orientation du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions, a pour objectif l’insertion professionnelle durable de jeunes en difficulté.