Les contrats aidés en 2022
- 14 février 2024
- Dares Résultats N° 14
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
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La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
Six mois après être sortis d’un parcours d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2021, près de la moitié des bénéficiaires sont en emploi.
S’appuyant sur un matériau recueilli dans le cadre d’une étude commanditée par la Dares, cet article s'intéresse aux points communs et aux divergences entre l'expérimentation territoires zéro chômeur de longue durée et les dispositifs de l'insertion par l'activité économique.
Début 1993, près de 1,4 millions de personnes sont salariées sous une forme particulière d'emploi : contrats à durée déterminée (CDD), contrats de travail temporaire, contrats d'apprentissage, les stages et contrats aidés.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.
Fin décembre 1992, le nombre d'Associations Intermédiaires (A.I.) a dépassé le chiffre de 960. Globalement, l'activité de ces associations, tournée vers la réinsertion professionnelle de publics en grande difficulté, progresse de 28 % en un an.
En 1992, des employeurs du secteur non marchand ont signé 600 000 contrats emploi-solidarité avec des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée, soit 142 000 de plus qu'en 1991. A la fin décembre, 357 000 salariés étaient employés sur un CES.
Les années 1990 à 1992 ont été marquées par une augmentation importante du nombre d'entreprises et de salariés bénéficiant du dispositif d'insertion.