Forte baisse du recours au chômage partiel en 2004
- 15 décembre 2005
- Dares Indicateurs N°50.2
En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
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En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
À la fin du premier trimestre 2005, on dénombre 590 000 intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+ 0,4 %).
En 2004, le volume de l’intérim atteint 569 300 équivalents-emplois temps plein, une augmentation de 2,6 % par rapport à 2003, soit +14 000 équivalents-emploi temps plein.
Avec 585 000 équivalents-emplois à temps plein au quatrième trimestre 2004, l’intérim crée 15 000 postes (+2,5 %), poursuivant ainsi la hausse entamée depuis le deuxième trimestre 2004.
Entre 1992 et 2002, le travail intérimaire se développe dans l’industrie, ce qui réduit la chute de l’emploi dans ce secteur.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Avec 568 000 équivalents-emplois à temps plein au troisième trimestre 2004, l’intérim crée 5 000 postes (+0,8%), poursuivant ainsi la hausse entamée au trimestre dernier (+6 000 postes, soit +1 %).
En 1993, face à une conjoncture particulièrement dégradée, l'utilisation du chômage partiel comme alternative au licenciement a été massivement pratiquée. Le nombre de journées indemnisables est passé de 11 à 24 millions, chiffre jamais atteint auparavant.
Au cours du deuxième trimestre 1993, les intérimaires ont assuré un volume de travail correspondant à environ 250 000 emplois à temps complet. Autrement dit, près de 1,5 % du volume global de travail répond à des besoins très transitoires de l'activité.