L'emploi salarié
- 7 mai 2024
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Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié privé augmente de 0,2 %, après -0,1 % au trimestre précédent.
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Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié privé augmente de 0,2 %, après -0,1 % au trimestre précédent.
En 2020, un organisme de services à la personne sur trois déclare avoir cessé totalement son activité au cours du premier confinement.
Au 1e trimestre 2024, on compte 5 400 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (+0,0 % sur un trimestre). Consultez les principaux chiffres en un clin d’œil avec notre nouvelle datavisualisation !
Séries sur le nombre d'entrées en formation et taux d'entrée en formation des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C, ou en CRP, CTP, CSP (catégorie D) depuis janvier 2006.
En 2022, en France, 47 % des adultes ayant terminé leur formation initiale déclarent avoir suivi une formation au cours des douze derniers mois, que ce soit dans un but professionnel ou personnel.
En 2018, 16 % des travailleurs, soit 4,3 millions d’individus, perçoivent un revenu d’activité inférieur à 60 % du revenu d’activité médian de l’ensemble des travailleurs, soit moins de 1097 euros mensuels nets.
6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.
Au 4e trimestre 2023, 230 400 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−4,5 % par rapport au trimestre précédent), dont 21 300 licenciements pour motif économique (+0,2 %) et 209 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−5,0 %).