L'emploi intérimaire au 3e trimestre 2009
- 22 décembre 2009
- Dares Indicateurs N°52.1
À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
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À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
À la fin du deuxième trimestre 2009, 436 600 salariés sont intérimaires, soit +2 500 par rapport au trimestre précédent (+0,6 %).
En 2007, 57 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,2 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement et d’épargne salariale.
En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
À la fin du premier trimestre 2009, 435 900 salariés sont intérimaires. Comme au quatrième trimestre 2008, la baisse du nombre d’intérimaires est d’une ampleur exceptionnelle : -80 800 postes au premier trimestre 2009 (soit -15,6 %), après -79 500 (-13,3 %).
À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
À la fin du troisième trimestre 2008, 594 500 salariés sont intérimaires, soit -26 000 de moins qu’au trimestre précédent. Après le fort repli du deuxième trimestre 2008 (-7,3 %), l’emploi intérimaire se réduit encore, mais à un rythme moins élevé (-4,2 %).
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.
En 1993, les Plans d'épargne d'entreprise (PEE) se diffusent dans les entreprises. Parmi celles qui avaient un accord d'intéressement ou de participation en vigueur en 1993, près de 3 sur 10, représentant près d'un salarié sur deux, disposent d'un PEE.
En 1994, l'intéressement versé au titre de l'exercice 1993 représente près de 8 milliards de francs pour un effectif salarié couvert par un accord d'intéressement de 2,5 millions, baisse de 9 % par rapport à celui de l'exercice 1992.