Les hausses de salaires sont moins fréquentes et plus individualisées en 1998
- 17 mars 2000
- Dares Résultats N°10.3
Dans les établissements de 10 salariés ou plus, près de de huit salariés sur dix ont été augmentés en 1998.
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Dans les établissements de 10 salariés ou plus, près de de huit salariés sur dix ont été augmentés en 1998.
L'indice du salaire mensuel de base de l'ensemble des salariés (5MB) croît de 0,3 % au cours du quatrième trimestre 1999 et de 1,7 % sur un an.
En 1998, dans les établissements de 10 salariés ou plus, le gain brut mensuel moyen en équivalent-temps plein d’un salarié s’élevait à 13 950 francs.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable en dehors des mouvements saisonniers. Elle s'établit en moyenne à 39,00 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les employés et 39,13 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 39,00 heures pour l'ensemble des salariés, 39,15 heures pour les ouvriers et 38,85 heures pour les employés.
La durée hebdomadaire du travail est stable en dehors des mouvements saisonniers. Elle s'établit en moyenne à 39,01 heures pour l'ensemble des salariés, 38,86 heures pour les employés et 39,19 heures pour les ouvriers.
La reprise des hausses des salaires au premier trimestre 1989 met fin à une période de stabilité qui prévalait depuis le milieu de l'année 1987. Au cours de cette période, le taux de salaire horaire augmentait à un rythme de 3,4 %.
La durée hebdomadaire effective du travail est en hausse saisonnière par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 39,00 h pour l'ensemble des salariés ; pour les ouvriers 39,20 h et 38,85 h pour les employés, retrouvant ainsi les niveaux de juillet 1988.
La durée hebdomadaire effective du travail s’établit, début juillet 1998, à 38,79 heures pour l’ensemble des salariés, à 38,72 heures pour les non-ouvriers et à 38,90 heures pour les ouvriers.
En 1988, l'individualisation reste apparemment avantageuse pour les salariés : dans les entreprises où les hausses de salaire sont partiellement ou totalement individualisées, les salaires ont augmenté plus vite que dans celles n'ayant pratiqué que des hausses générales.