Les compétences au service des personnes en recherche d'emploi
- Le 18 décembre 2019
10 résultats
En 2017, 1,9 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit une proportion comparable à 2016.
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Garçons et filles se répartissent à peu près également, Leur niveau de formation et de diplôme est légèrement plus élevé que la population des demandeurs d'emploi de même âge. 46 % d'entre eux avaient déjà exercé au moins un emploi avant le stage.
En 1986, les conflits collectifs du travail ont été à l'origine d'un peu plus d'un million de journées individuelles non travaillées. Ce chiffre est parmi les plus bas depuis de nombreuses années. Il dépasse cependant celui de 1985 en raison des grèves de décembre 1986 du secteur public.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier