Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 29 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
194 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
Au 4e trimestre 2023, 67 000 salariés seraient en activité partielle en moyenne chaque mois, après 51 000 au 3e trimestre 2023, soit une hausse de 33 % (non corrigée des variations saisonnières).
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
Ce quatrième rapport du comité scientifique de l’évaluation du PIC dresse un bilan à l’issue de cinq années de déploiement et complète les constats établis par les éditions précédentes.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
Les 20 projets étudiés par Amnyos et Orseu-Itinere sont situés dans 8 régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche Comté, Grand Est, Haut de France, Ile-de-France, Martinique, Nouvelle Aquitaine et Pays de la Loire) et trois d’entre eux se placent à l’échelle nationale.
Entre janvier 2021 et juin 2022, le nombre de salariés placés en activité partielle recule fortement même s’il reste, mi-2022, supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.