Insertion à six mois des sortants de contrat de professionnalisation (depuis 2011)
- 20 décembre 2022
L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
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L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
Si les salariés ont des attitudes plutôt positives à l’égard des syndicats, une proportion croissante d’entre eux ne s'exprime pas.
Cet article interroge les prises que se donnent (ou non) les salarié·es pour négocier les salaires avec leurs employeur·ses, et si le fait de se mobiliser influe sur l’issue des négociations.
En 2021, 900 groupements d’employeurs non agricoles génèrent un volume d’emploi de 25 000 salariés. La majorité compte moins de 10 salariés, mais plus d’un sur dix emploie 50 salariés ou plus.
En 2021, le nombre de travailleurs détachés, hors transport routier, est en baisse de 21 % par rapport à 2019. Ces salariés exercent principalement dans la construction (45 %) et l’industrie (28 %).
Un taux de démission élevé mais pas inédit. Quel serait l’impact de l’introduction des ruptures conventionnelles sur ce taux de démission depuis 2008 ?
Midas, une nouvelle base de données pour reconstituer les trajectoires professionnelles de l’ensemble des inscrits à Pôle emploi et des bénéficiaires de minima sociaux.
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
Garantie jeune, insertion par l'activité économique, parcours emploi compétences... 1,8 million d'entrées sont comptées dans ces dispositifs entre mi-2020 et mi-2021, soit une hausse de 41 % sur un an.
En 2020, 16,6 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective à leur niveau, à celui d’un de leurs établissements, de l’unité économique et sociale ou du groupe dont elles relèvent, soit 0,6 point de moins qu’en 2019.