Le programme "nouveaux services-emplois jeunes" en 2000 : près d'un tiers des embauches effectuées par des associations
- 7 septembre 2001
- Dares Analyses N° 36.1
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
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Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
En 1999, 5,4 millions de salariés, soit 37 % de l’effectif des entreprises des secteurs marchands non agricoles, ont reçu une prime de partage des bénéfices au titre de la participation ou de l’intéressement.
L'année 1992 s'inscrit dans la fin d'un cycle initié en 1986. Les hausses de salaire, avec un décalage par rapport à l'activité économique, sont en phase de ralentissement et se normalisent.
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
Au cours de l'année 1991, 1,654 million de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou en préretraite grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi. Ces effectifs sont en légère augmentation par rapport à l'année précédente ( 1,553 million).
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.
Près de 230 000 jeunes ont bénéficié, en 1991, d'un contrat de formation en alternance : contrat de qualification, contrat d'adaptation ou stage d'initiation à la vie professionnelle.
Entre 1986 et 1990, le nombre d'entreprises pratiquant l'intéressement est passé de 2 160 à 10 700.