La hiérarchie des salaires entre 1996 et 2004
- 17 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.1
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
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La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
Synthèse des principales données sur l’emploi des séniors.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
En 2005, six seniors de 50 à 64 ans sur dix sont actifs, 55 % d’entre eux étant en emploi et 4 % au chômage, selon les normes du Bureau International du Travail (BIT).
Au cours de l’année 1998, 78 800 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et, au 31 décembre, l’UNEDIC dénombrait 220 000 allocataires indemnisés au titre de l’ASFNE, de la préretraite progressive ou de l’Allocation de Remplacement Pour l’Emploi (ARPE).
Après une relative stagnation au début de la décennie, la proportion des salariés au SMIC a bénéficié des fortes revalorisations du SMIC de juillet 1995 et de juillet 1997, qui ne se sont pas intégralement diffusées aux autres salariés.
L'enquête sur les conditions de travail de 1998 (encadré méthodologique) témoigne d'une extension des contraintes de rythme de travail par rapport à celles de 1984 et de 1991.
Sentiment de responsabilité, urgence, bruit, attention soutenue, interruptions, moyens insuffisants ou relations tendues. Beaucoup ont augmenté entre 1991 et 1998.
En 1995, dans la population salariée, en milieu ou fin de vie active, les « troubles du sommeil » (difficultés pour s’endormir, éveils précoces, prise de somnifères, etc.) sont assez répondus.