Le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022)
- 3 mai 2023
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
259 résultats
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
Quelques faits stylisés à partir de l’enquête Ofer 2016.
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Les caractéristiques de ces populations (niveau de diplôme, d'activité, de chômage) évoluent-elles par rapport aux personnes sans ascendance migratoire ? Quelles sont leurs spécificités en termes de métiers et de contrats de travail ?
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.