La hiérarchie des salaires entre 1996 et 2004
- 17 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.1
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
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La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
Synthèse des principales données sur l’emploi des séniors.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
En 2005, six seniors de 50 à 64 ans sur dix sont actifs, 55 % d’entre eux étant en emploi et 4 % au chômage, selon les normes du Bureau International du Travail (BIT).
En 1992, plus de 90 000 personnes âgées de 50 ans et plus ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi offertes à des publics adultes, soit près des 7 % de l'ensemble des bénéficiaires.
Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à l'ANPE et âgés de plus de 50 ans, est passé de 336 000 fin décembre 1982 à 367 000 fin décembre 1992, soit une augmentation de 9,1 % à comparer à celle de l'ensemble des DEFM : + 43,7 %.
Fin 1992, 175 700 bénéficiaires de préretraites de 55 à 59 ans étaient indemnisés par l'Unedic pour le compte de l'Etat (FNE). Au cours de l'année, 50 300 d'entre eux sont entrés dans les dispositifs généraux de préretraite.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6% de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1992, proportion identique à celle relevée un an plus tôt. Cette stabilité s'explique en partie par la diminution des effets de la renégociation des bas salaires.