Nouvelle hausse de la dépense de formation professionnelle en 1998
- 1 novembre 2000
- Dares Résultats N°44.1
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
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Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
L’année 1999 est de nouveau marquée par un recul du nombre de contrats emploi-solidarité (CES) conclus (447 000 conventions, soit 7 % de moins qu’en 1998) et une forte augmentation des contrats emplois consolidés (CEC) (129 000 conventions, en hausse de 23 %).
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1989 à 201,4 milliards de francs, en augmentation de 0,5 % en francs courants, mais, pour la première fois, en diminution de 3,0 %.
37 % des victimes d'accidents avaient 45 ans ou plus, au lieu de 27 % pour les salariés du secteur. L'indice de mortalité des " 45 ans et plus " est supérieur à celui des " 25 - 44 ans ", et plus encore à celui des " moins de 25 ans ".
Au titre de 1989. les entreprises (ou établissements) ont déposé 5 793 accords dans les Directions Départementales du Travail et de l'Emploi. Pour 1988, il n'y en avait eu que 5 085.
Le fonds départemental pour l'initiative des jeunes a été institué en février 1985. Il a pour objectif d'aider à la mise en oeuvre de projets de création ou de reprise d'activités économiques.
Pour sa première année d'application, cette mesure a rencontré un accueil très favorable, puisque de sa mise en place au 31 décembre 1989 71 000 embauches ont été réalisées. Son impact net est évalué en première analyse à près de 30 000 embauches supplémentaires.
Plus de quatre embauches aidées sur dix ont été directement induites par les aides. L'exonération pour la première embauche favorise le développement de l'entreprise.