Le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022)
- 3 mai 2023
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
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L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Ce sont plus souvent les établissements de taille moyenne (20 à 199 salariés) qui sont preneurs d'ordres.
Fin 2021, 142 900 salariés en insertion travaillent dans une structure de l’Insertion par l’Activité Économique (IAE).
Le risque d’accident du travail avec arrêt de travail est plus élevé dans la construction, puis dans les industries du bois et du papier, les services opérationnels et les transports.
En 2005, 2,7 millions d’actifs occupés étaient non salariés parmi lesquels 600 000 exploitants agricoles et 250 000 aides familiaux.
En 2007, le rythme de croissance des embauches exonérées dans les zones de revitalisation rurale (ZRR) ralentit : près de 13 000 salariés ont été embauchés, soit une hausse de 11 % après 31 % entre 2005 et 2006.
Les infirmières et aides-soignantes sont plus exposées que les autres salariés à certains produits chimiques cancérogènes et aux radiations.
En 2007, le nombre de personnes en difficulté accueillies dans le secteur de l’insertion par l’activité économique continue de croître.