Éclairages sur la qualité du travail : recherches issues de l'enquête Conditions de travail
- Le 22 novembre 2016
11 résultats
De moins en moins de cessations d’activité pour les femmes en couple et un recours croissant au temps partiel.
Les risques psychosociaux auxquels sont exposés certains salariés sont susceptibles de dégrader leur santé physique et mentale.
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
L’enquête « Santé et itinéraire professionnel » (SIP) a pour objet les interactions entre le travail, l’emploi et la construction ou l’altération de la santé, en prenant en compte les décalages temporels.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
La proportion de salariés travaillant en équipes est de 12,5 % de l'ensemble des salariés en 1990 ; elle était de 12,2 % en 1986. La progression amorcée entre 1982 et 1984 se poursuit, mais à un rythme plus faible.
Aujourd'hui, plus qu'en 1978 et 1984, les salariés interrogés déclarent que leur travail s'accompagne de contraintes et de nuisances.
Six millions de salariés utilisent un ordinateur en 1991.
En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.