Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
12 résultats
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
Cette enquête visait à cerner les changements organisationnels et de leurs effets économiques et sociaux.
Plus des trois quarts des responsables d’établissement d’au moins 20 salariés déclarent avoir rédigé un document d’évaluation des risques professionnels en 2004. Cependant, les salariés et leurs représentants n’en sont pas toujours bien informés.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Atteignant 142,7 milliards de francs en 1998, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la troisième année consécutive.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
L’année 1999 est de nouveau marquée par un recul du nombre de contrats emploi-solidarité (CES) conclus (447 000 conventions, soit 7 % de moins qu’en 1998) et une forte augmentation des contrats emplois consolidés (CEC) (129 000 conventions, en hausse de 23 %).
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
Le travail en juste-à-temps accroît les contraintes de rythme et notamment le poids de la surveillance hiérarchique.