Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
11 résultats
Cette enquête visait à cerner les changements organisationnels et de leurs effets économiques et sociaux.
Plus des trois quarts des responsables d’établissement d’au moins 20 salariés déclarent avoir rédigé un document d’évaluation des risques professionnels en 2004. Cependant, les salariés et leurs représentants n’en sont pas toujours bien informés.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
En ce début d’année 2000, le marché du travail s’est plus spécialement tendu dans certains domaines industriels tels l’électricité et l’électronique, la mécanique et le travail des métaux et dans le BTP, avec une croissance forte (voisine ou supérieure à 40 %) du ratio offres sur demandes enregistrées.
Le travail en juste-à-temps accroît les contraintes de rythme et notamment le poids de la surveillance hiérarchique.
En 1999, les innovations ont un impact ambigu sur l’emploi des établissements qui les mettent en œuvre : elles favorisent la création d’emplois qualifiés, mais aussi la réduction des emplois d’exécution.