Les mouvements de main-d’œuvre des salariés du privé
- 11 avril 2024
6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
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6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.
Au 4e trimestre 2023, 230 400 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−4,5 % par rapport au trimestre précédent), dont 21 300 licenciements pour motif économique (+0,2 %) et 209 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−5,0 %).
Au 4e trimestre 2023, 297 800 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (+2,7 % par rapport au trimestre précédent).
Au 4e trimestre 2023, 129 100 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (−0,4 % par rapport au trimestre précédent).
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Au 4e trimestre 2023, on compte 493 600 démissions de CDI en France métropolitaine (secteur privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit −3,4 % sur un trimestre. Il y a 544 900 démissions (−2,2 %) en tenant compte des ruptures anticipées autorisées d’un CDD.
Les séries trimestrielles et annuelles des mouvements de main-d'œuvre, basées sur les déclarations des établissements de France métropolitaine du champ privé hors agriculture, hors contrats intérimaires et hors particuliers employeurs.
Depuis 2017, les entreprises de plus de 300 personnes sont dans l’obligation de former à la non-discrimination à l’embauche leurs salariés en charge du recrutement. L’étude s’intéresse à l’offre de formation qui s’est développée suite à cette obligation.