Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
L’accroissement du nombre des accidents du travail en 1998 et 1999 résulte en partie de l’amélioration de la situation économique : le nombre d’heures travaillées augmente, et avec lui les occasions d’accidents.
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
Au cours du premier trimestre 1993, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus baisse de 0,4 point et atteint 6,0 % (en données corrigées des variations saisonnières) : la baisse des recrutements s'est accélérée sur les six derniers mois.
En 1992, on estime le volume des entrées dans les établissements de 10 salariés et plus à environ 2 990 000 et celui des sorties à 3 118 000, soit une perte de 128 000 emplois qui représentent 1,2 % des effectifs de ces établissements.
En 1992, le chômage partiel a continué à augmenter. Il est passé de 7,6 millions de journées indemnisable en 1991 à 10,7 millions en 1992, soit une augmentation de 41 %.
Au cours du quatrième trimestre 1992, on note une baisse des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus : le taux d'entrée stable depuis le début de l'année (en données corrigées des variations saisonnières) passe en effet à 6,2 % après 6,7 % au troisième trimestre.
Au cours du troisième trimestre 1992, on observe une reprise sensible des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus. En données corrigées des variations saisonnières, le taux d'entrée passe en effet de 6,6 % au second trimestre à 6,8 % au troisième trimestre.