Six figures de l'emploi à temps partiel
- 19 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.4
Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
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Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %.
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
En 2005, 14 % des entreprises de 10 salariés et plus ont engagé des négociations collectives. Ce taux est proche de 50 % dans les entreprises de 50 salariés et plus.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
La conflictualité du travail s’est intensifiée au cours de la dernière décennie.
Le rapport sur « Les métiers en 2015 » s’inscrit dans la lignée des travaux réalisés depuis 1997 par le groupe « Prospective des métiers et qualifications ». Lancé par Claude Seibel, alors président du groupe, ce document constitue l’achèvement d’un cycle de travaux.
En 1993, les conflits du travail repassent au-dessus de la barre du demi million de journées non travaillées. Les grèves ont été moins fréquentes mais plus longues, avec une absence presque totale de conflits généralisés.
En 1993, 100 000 employeurs ont eu recours à la mesure d'abattement des cotisations sociales patronales de sécurité sociale en proposant à ce titre plus de 180 000 contrats à temps partiel, soit à de nouveaux salariés, soit à des salariés déjà en poste dans leur entreprise.