L’emploi intérimaire progresse modérément au 3e trimestre 2017
- 12 décembre 2017
- Dares Indicateurs N°078
L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
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L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
Au 2e trimestre 2017, l’emploi intérimaire est en hausse (+3,5 % par rapport à la fin du trimestre précédent) après avoir légèrement diminué au 1er trimestre 2017 (-0,5 %).
Au 1er trimestre 2017, l’emploi intérimaire en fin de trimestre s’inscrit en légère baisse (-1,3 %), après une forte hausse au 4e trimestre 2016 (+9,7 %).
En moyenne de 2013 à 2015, parmi les 2,4 millions de jeunes âgés de 18 à 29 ans qui suivent des études dans l’enseignement supérieur, près de 23 % sont actifs au sens du Bureau international du travail (BIT).
À la fin du 4e trimestre 2016, l’emploi intérimaire est en forte hausse (+7,0 % par rapport à la fin du trimestre précédent, après +4,9 % au 3e trimestre). Cette forte hausse se ressent à la fois dans l’industrie (+7,2 %, après +4,2 %), dans la construction (+6,1 %, après +6,8 %) et dans le tertiaire (+7,4 %, après +4,7 %).
Au 3e trimestre 2016, l’emploi intérimaire en fin de trimestre repart à la hausse (+5,0 % par rapport à la fin du trimestre précédent, après +0,0 % au 2e trimestre).
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.