L’organisation du temps de travail
- 19 novembre 2015
- Septennales
- Nationales
11 résultats
En 2013, 56,1 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente les contraintes auxquelles les salariés sont soumis et le degré de latitude dont ils disposent en matière d’organisation du temps de travail : semaine et journée de travail, horaires atypiques, congés, dépassements, astreintes, etc.
L’édition 2013 visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits...
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
En 1994, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,7 % de la rémunération totale (6,6 % en 1993). La part des primes non mensuelles est stable : 7,8 %.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
La participation dégagée au titre de l'exercice 1992 est estimée à près de 15 milliards de Francs, pour un peu moins de 4,4 millions de salariés couverts par un accord de participation, soit 3 400 F par salarié.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.
L'intéressement versé au titre de l'exercice 1992 représente environ 8 milliards de Francs pour 2,7 millions de salariés couverts.