La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
- Autres publications
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
394 résultats
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Au 1er trimestre 2024, dans les entreprises du secteur privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), le taux d’emplois vacants s’élève à 2,7 %. Il baisse de 0,2 point par rapport au trimestre précédent, et de 0,6 point sur un an.
Sur l’ensemble du secteur salarié privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), 615 000 emplois sont vacants en moyenne en 2023, dont 40 % dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Les très petites entreprises (TPE), de moins de 10 salariés, emploient 18 % des salariés du secteur privé non agricole en 2022. Elles se trouvent en dessous des seuils légaux qui imposent l’élection de représentants du personnel ou la tenue de négociations collectives.
Le présent appel à projets de recherche (APR) vise à encourager la réalisation de recherches permettant de déterminer dans quelle mesure l’expérimentation TZCLD est susceptible de constituer une solution adaptée à la privation durable d’emploi.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 4e trimestre 2023.
Un appel à projets de recherche visant à réaliser des travaux d’évaluation qualitative de l’expérimentation Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD), qui permet à des personnes éloignées de l’emploi d'être embauchées en contrat à durée indéterminée par des entreprises créées de façon ad hoc.
Quel coût du dispositif TZCLD pour les finances publiques rapporté aux bénéfices, pour les bénéficiaires et la société dans son ensemble ?
En 2022, les tensions sur le marché du travail continuent d’augmenter dans la très grande majorité des métiers et atteignent leur plus haut niveau depuis 2011. Elles demeurent particulièrement fortes dans ceux de l’industrie, du bâtiment, de l’informatique et des télécommunications, ainsi que pour les infirmiers.
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).