Les horaires de travail sont moins réguliers et plus diversifiés en 1991 qu’en 1984
- 12 août 1993
- Dares Résultats N°28
Les horaires fixes sont en recul : ils concernaient 65 % des salariés en 1978, 59 % en 1984, 52 % en 1991.
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Les horaires fixes sont en recul : ils concernaient 65 % des salariés en 1978, 59 % en 1984, 52 % en 1991.
Au cours du quatrième trimestre 1992, on note une baisse des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus : le taux d'entrée stable depuis le début de l'année (en données corrigées des variations saisonnières) passe en effet à 6,2 % après 6,7 % au troisième trimestre.
Au cours du troisième trimestre 1992, on observe une reprise sensible des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus. En données corrigées des variations saisonnières, le taux d'entrée passe en effet de 6,6 % au second trimestre à 6,8 % au troisième trimestre.
Le volume des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus diminue légèrement au deuxième trimestre 1992. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 6,7 % au 1er trimestre 1992 à 6,5 % au 2e trimestre 1992.
En 1990, le taux d'absence au travail est identique à ce qu'il était dans les années 70. Il s'élève à 5,3 % et si on y inclut les absences pour congé de maternité, celui-ci passe à 5,9 % . Les ouvriers sont plus souvent absents que les non ouvriers.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus diminuent nettement entre le 4ème trimestre 1991 et le 1er trimestre 1992. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 7,1 % à 6,7 %.
Après la hausse du troisième trimestre 1991, les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus retrouvent au quatrième trimestre le rythme du début de l'année.
Au cours du troisième trimestre 1991, les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus enregistrent une forte croissance. C'est l'Industrie qui connaît la plus forte augmentation puisque le taux d'entrée passe de 4,5 % au second trimestre à 5,3 % ce trimestre.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus restent à un faible niveau pour le deuxième trimestre consécutif. L'essoufflement du rythme des embauches s'observe dans tous les secteurs. Il est un peu plus prononcé ce trimestre dans le secteur tertiaire.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus chutent de plus de 10 % entre le quatrième trimestre de 1990 et le premier trimestre de 1991. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 7,8 % à 7,0 %.