Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 29 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
474 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
Au 4e trimestre 2023, le nombre moyen d’heures supplémentaires par salarié à temps complet et dont le temps de travail est décompté en heures (i.e. hors salariés au forfait jour) est de 17,5 heures, en légère hausse sur un an (+1,7 %).
Le présent appel à projets de recherche (APR) vise à encourager la réalisation de recherches permettant de déterminer dans quelle mesure l’expérimentation TZCLD est susceptible de constituer une solution adaptée à la privation durable d’emploi.
Ces données fournissent la répartition de la durée collective hebdomadaire de travail par secteur d'activité, par tranche de taille d’entreprise et par tranche de durée.
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
Les structures concernées par la modulation semblent avoir moins de fins de contrat et recourir en moyenne à des contrats de plus longue durée après la mise en place de la réforme.
Un appel à projets de recherche visant à réaliser des travaux d’évaluation qualitative de l’expérimentation Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD), qui permet à des personnes éloignées de l’emploi d'être embauchées en contrat à durée indéterminée par des entreprises créées de façon ad hoc.
Quel coût du dispositif TZCLD pour les finances publiques rapporté aux bénéfices, pour les bénéficiaires et la société dans son ensemble ?
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).