L'apprentissage en 2003 : nouveau tassement des entrées
- 30 décembre 2004
- Dares Résultats N° 53.3
Avec une baisse de 2 % en 2003, les embauches en contrat d'apprentissage dans le secteur marchand reculent pour la deuxième année consécutive.
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Avec une baisse de 2 % en 2003, les embauches en contrat d'apprentissage dans le secteur marchand reculent pour la deuxième année consécutive.
En 2002, les plus de 50 ans représentent 14 % des entrées en contrats emploi-solidarité (CES), 29 % en contrats emploi consolidé (CEC) et 26 % en contrats initiative emploi (CIE).
Un public plus âgé, plus féminisé et plus diplômé que dans le privé.
Le travail est physiquement moins pénible pour les salariés âgés, mais leurs conditions de travail se dégradent comme celles des plus jeunes entre 1984 et 1998.
Les embauches en contrat d'apprentissage diminuent de 1,2 % en 2002.
Avec une baisse de 12 % en 2002, les entrées en contrat de qualification, d'adaptation et d'orientation reculent pour la deuxième année consécutive.
Deux ans et demi après la fin prévue d'un contrat d'apprentissage ou de qualification, 85 % des jeunes sont en emploi.
Pour la première fois depuis presque 10 ans, le nombre de personnes relevant d'un dispositif public de préretraite est inférieur à 200 000 : fin 2002, elles ne sont plus que 181 500, soit 11,3 % de moins en un an.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
Au cours de l’année 1999, 70 500 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et l’Unédic dénombrait 202 600 allocataires indemnisés au titre de l’allocation spéciale du Fonds National de l’Emploi (ASFNE), de la préretraite progressive ou de l’allocation de remplacement pour l’emploi (ARPE) en fin d’année.