Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
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Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Plus que d’apporter une appréciation stabilisée des résultats du dispositif, l’objectif de ce rapport intermédiaire est de repérer déjà les marges d’amélioration possible en vue de la généralisation.
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
464 000 contrats aidés ont débuté en 2015, 347 000 dans le secteur non marchand et 117 000 dans le secteur marchand.
Dans un contexte de baisse de du chômage, l’enveloppe financière affectée aux contrats emploi-solidarité (CES) a diminué tandis que celle des contrats emplois consolidés (CEC) augmentait pour offrir une insertion plus durable aux plus exclus.
En 1999, la dépense pour la formation professionnelle s’élève à 144,7 milliards de francs, soit un doublement depuis 1987.
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
L’analyse des accords conclus entre employeurs et représentants des salariés au premier trimestre 2001 montre que 13 % des entreprises reprennent les négociations salariales après une période de gel des rémunérations consécutive à la réduction du temps de travail.
Depuis la mise en place de la mesure en 1997, les embauches exonérées de cotisations sociales patronales dans les établissements en ZRR et ZRU ont progressé de manière continue pour atteindre progressivement 14 300 et 4 400 embauches en 2000 (hors DOM).
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.