Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
10 résultats
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
En 2005, 260 400 nouveaux contrats d’apprentissage ont été enregistrés dans le secteur marchand. La hausse a été de près de 6 % en un an, une progression comparable à celle de 2004.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1986 à 182,4 milliards de francs, en augmentation de 7,5 % en Francs courants et de 4,7 % en Francs constants par rapport à l'année précédente. Ce dernier taux est comparable à celui observé en 1985 (+4,6 %).
Sur plus d'un million de jeunes ayant bénéficié, entre le 1er mai 1986 et le 31 janvier 1987, des dispositions du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes, près de 420 000 ont été recrutés au titre d'une des trois formules de formation en alternance.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier
Du 1er mai au 31 décembre 1986, le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 837 693 jeunes, dont 118 955 pour le mois de décembre.