Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
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Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Entre juillet 2002 et décembre 2004, un peu plus de 200 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre du dispositif « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprise ».
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
Les jeunes qui ont terminé leurs études depuis au plus dix années se répartissent très inégalement dans les différents secteurs du tertiaire.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
A la fin du 1er semestre 2000, un peu plus de 27 000 jeunes, embauchés entre 1997 et 1999 (hors Education nationale et Police nationale), étaient sortis du programme « nouveaux services-emplois jeunes ».
En 1999, environ 126 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
Entre octobre 1998, date de lancement du programme Trace, et décembre 1999, près de 42 000 jeunes ont intégré le dispositif.
Le programme Trace (TRajectoires d’ACcès à l’Emploi), inclus dans la loi d’orientation du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions, a pour objectif l’insertion professionnelle durable de jeunes en difficulté.
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.