Les dispositifs publics d’accompagnement des restructurations en 2017
- 4 septembre 2019
- Dares Résultats N°039
En 2017, 143 900 personnes se sont inscrites à Pôle emploi suite à un licenciement économique, soit 12 % de moins qu’en 2016.
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En 2017, 143 900 personnes se sont inscrites à Pôle emploi suite à un licenciement économique, soit 12 % de moins qu’en 2016.
En 2018, le taux d’activité des personnes âgées de 55 à 64 ans est de 56,0 % : 52,1 % sont en emploi et 3,8 % au chômage, soit un taux de chômage (par rapport aux actifs) de 6,9 %.
En 2018, 437 700 ruptures conventionnelles individuelles ont été homologuées, soit une augmentation de 3,9 % par rapport à 2017.
En 1993, le nombre des entrées en préretraites ASFNE s'accroît de 27 %, tandis que les préretraites progressives, sont en quasi-doublement ; les entrées en chômage des personnes de 55 à 59 ans diminuent de 10 %.
En 1993, environ 266 000 personnes sont entrées dans un dispositif d'accompagnement des restructurations. Au sein de ces dispositifs, les conventions de conversion sont l'outil principal de reclassement des salariés licenciés.
En 1992, les demandes de licenciement de représentants du personnel augmentent d'un cinquième. Les autorisations délivrées par les inspecteurs du travail croissent également, mais un peu moins vite.
Les salariés en activité après 55 ans partent des entreprises pour l'essentiel à partir de 60 ans. En deçà de cet âge, les préretraites FNE ou d'entreprise sont majoritaires dans les sorties définitives du marché du travail.
En 1989, 43 200 personnes âgées de 55 à 59 ans sont entrées dans les dispositifs généraux de préretraite. Au total, 196 000 bénéficiaires de préretraites de la génération née entre 1930 et 1934 sont indemnisés en fin d'année 1989. Ce nombre a diminué de 3 % sur un an.
Depuis quelques années, il existe deux dispositifs destinés à favoriser le reclassement des salariés dont l'emploi est supprimé, les congés de conversion et les conventions de conversion.