Les seniors au travail
- 1 août 2017
- Dares Analyses N°050
En 2016, au-delà de 55 ans, les salariés seniors travaillent plus à temps partiel que les plus jeunes. Une petite partie de ce temps partiel recouvre des situations de cumul emploi-retraite.
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En 2016, au-delà de 55 ans, les salariés seniors travaillent plus à temps partiel que les plus jeunes. Une petite partie de ce temps partiel recouvre des situations de cumul emploi-retraite.
En 2016, le nombre de personnes en emploi s’est accru de 255 000 en France (hors Mayotte). 205 000 emplois salariés, dont 82 000 dans l’intérim, ont été créés en net dans les secteurs marchands non agricoles, contre un maximum de 108 000 pour les années 2008 à 2015.
En 2014, les demandeurs d’emploi et les dispensés de recherche d’emploi âgés de 50 ans ou plus percevaient plus souvent une allocation chômage que les plus jeunes, essentiellement parce qu’ils étaient plus souvent indemnisables par l’allocation de solidarité spécifique (ASS).
En 2015, 185 900 embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu, soit une hausse de 5 % en un an. Elles continuent de progresser dans l’industrie (+7 %) et le tertiaire (+6 %) tandis que le secteur de la construction est toujours en recul (-11 %).
En 2015, l’activité dans le secteur des services à la personne continue de reculer (-1,6 % après -1,2 % en 2014).
Au cours de l’année 1999, 70 500 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et l’Unédic dénombrait 202 600 allocataires indemnisés au titre de l’allocation spéciale du Fonds National de l’Emploi (ASFNE), de la préretraite progressive ou de l’allocation de remplacement pour l’emploi (ARPE) en fin d’année.
Suite aux modifications réglementaires intervenues en 1998, la hausse des emplois familiaux s’est ralentie après 1997, tandis que diminue le nombre de bénéficiaires de l’allocation pour garde d’enfant à domicile (AGED).
Avec 6 600 nouvelles entrées en 1999, le contrat d’orientation a poursuivi son développement, à un rythme cependant moins soutenu qu’en 1998.
Après deux années de hausse des entrées en contrat de qualification et d’adaptation, 1999 a été marqué par un net ralentissement des embauches pour la première mesure (+2 %) et par un recul sensible pour la seconde (- 8 %).
La croissance de l’emploi est restée vigoureuse au deuxième trimestre 2000, quoiqu’en retrait par rapport au trimestre précédent : 120 000 emplois ont été créés au total, dont 110 000 dans les secteurs concurrentiels non agricoles.