Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
350 résultats
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Au 1er trimestre 2024, dans les entreprises du secteur privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), le taux d’emplois vacants s’élève à 2,7 %. Il baisse de 0,2 point par rapport au trimestre précédent, et de 0,6 point sur un an.
Sur l’ensemble du secteur salarié privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), 615 000 emplois sont vacants en moyenne en 2023, dont 40 % dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
Aujourd'hui, beaucoup d'offres d'emploi sont publiées en ligne, et parfois sur différents sites internet. Avec Jocas, la Dares utilise ces millions d'offres pour contribuer à améliorer la compréhension du marché du travail. Yannis Bouachera, data scientist à la Dares, nous explique.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 4e trimestre 2023.
En 2022, les tensions sur le marché du travail continuent d’augmenter dans la très grande majorité des métiers et atteignent leur plus haut niveau depuis 2011. Elles demeurent particulièrement fortes dans ceux de l’industrie, du bâtiment, de l’informatique et des télécommunications, ainsi que pour les infirmiers.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 3e trimestre 2023.
En 2021, les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail atteignent 183,8 milliards d’euros (Md€). Bien qu’en baisse de 3 % (en euros constants) par rapport à 2020, elles demeurent très supérieures au niveau d’avant-crise.