Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2005
- 10 novembre 2006
- Dares Indicateurs N°46.3
Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
Après un allongement sensible de 1985-86 à 1994-95, la durée moyenne des études s'est stabilisée en 1996-97 et 1997-98.
Le troisième trimestre 1997 vient clore une période d’une année environ de croissance modérée de l’emploi.
La reprise économique se traduit par un marché du travail plus actif : dans les entreprises, entrées et sorties se font plus nombreuses.
En 1996, les établissements de 10 salariés ou plus du secteur privé ont connu un turnover correspondant au tiers de leur effectif de début de l’année. Au total, 22 % des embauches se sont faites en contrat à durée indéterminée.