Les mouvements de main-d'œuvre au 3e trimestre 2006
- 13 septembre 2007
- Dares Indicateurs N°38.4
Au troisième trimestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim augmente très légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au troisième trimestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim augmente très légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2005, la rotation de la main-d’œuvre est en hausse dans les établissements de plus de dix salariés, sous l’effet conjugué d’une augmentation des entrées et des sorties d’emploi.
Au deuxième trimestre 2006, la rotation de la main-œuvre hors intérim demeure stable dans les établissements d’au moins dix salariés.
Au premier trimestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim diminue légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés.
Ce document d'études décrit les mouvements de main-d’œuvre dans les établissements d’au moins dix salariés du secteur privé hors intérim entre 1996 et 2005 au niveau national et au niveau régional.
L'enquête complétait pour les établissements de 1 à 49 salariés, les informations obtenues grâce à la déclaration des mouvements de main-d’œuvre.
D’ici 2015, le nombre de postes à pourvoir sur le marché du travail devrait augmenter fortement quand les générations nées après 1945 arriveront en fin de carrière.
La construction d’un véritable droit à la mobilité professionnelle attaché à l’individu reste aujourd’hui embryonnaire.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.