La sécurisation des trajectoires professionnelles
- 4 novembre 2005
- Document d'études N°107
La construction d’un véritable droit à la mobilité professionnelle attaché à l’individu reste aujourd’hui embryonnaire.
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La construction d’un véritable droit à la mobilité professionnelle attaché à l’individu reste aujourd’hui embryonnaire.
Au cours du premier semestre 2005, les flux d’offres d’emplois déposées à l’ANPE par les employeurs continuent de s’accroître pour atteindre un niveau record supérieur à ceux observés durant l’année 2000.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
Ces derniers représentent 2,5 % des effectifs salariés assujettis, soit 4 % en termes d’ « unités bénéficiaires » comptabilisées selon les critères de la loi.
D’octobre 2004 à mars 2005, les offres enregistrées à l’Anpe augmentent de +6 % par rapport au même semestre de l’année antérieure.
Les tensions sur le marché du travail ont augmenté entre octobre 2003 et mars 2004.
En 2002, année de ralentissement conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Au troisième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre est en baisse dans les établissements d’au moins 10 salariés, sous l’effet conjugué de la baisse des entrées et des sorties.
En 2003, près de 8 400 salariés ont été recrutés par des établissements implantés en Zone franche urbaine (ZFU), ce qui représente une progression de 6 % par rapport à 2002.