Étude de terrain qualitative sur la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle femmes-hommes
- Le 15 mai 2019
11 résultats
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
L’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) progresse de 0,8 % au 1er trimestre 2019 et de 1,6 % sur un an.
En avril, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 3 112 000 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 1,5 % par rapport à mars.
Au cours du quatrième trimestre 1992, on note une baisse des recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus : le taux d'entrée stable depuis le début de l'année (en données corrigées des variations saisonnières) passe en effet à 6,2 % après 6,7 % au troisième trimestre.
Le nombre des salariés en congé parental est estimé à 95 000 en 1992. Comparé au million de ménages où l'homme et la femme travaillent et qui ont au moins un enfant de moins de trois ans, ce nombre apparaît faible.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
La durée hebdomadaire effective du travail est en baisse chez les ouvriers par rapport au début du premier trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,91 heures pour l'ensemble des salariés, reste stable à 38,85 heures pour les non-ouvriers et descend à 38,98 heures pour les ouvriers.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6% de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1992, proportion identique à celle relevée un an plus tôt. Cette stabilité s'explique en partie par la diminution des effets de la renégociation des bas salaires.