L'évolution du travail temporaire de 1996 à 1997
- 29 mai 1998
- Dares Résultats N°22.1
Le travail temporaire a connu une année 1997 particulièrement favorable après une année 1996 assez terne.
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Le travail temporaire a connu une année 1997 particulièrement favorable après une année 1996 assez terne.
La durée hebdomadaire effective du travail s’établit, début avril 1998, à 38,79 heures pour l’ensemble des salariés, à 38,75 heures pour les non-ouvriers et à 38,87 heures pour les ouvriers.
Après deux années consécutives de baisse, la dépense pour la formation professionnelle est en hausse avec 138 milliards de francs en 1996.
La dépense pour l’emploi est estimée pour 1996 à 305 milliards de francs, soit une hausse de 3,4 % en francs constants qui rompt avec l’infléchissement observé depuis deux ans.
En 1994, dans les industries agricoles et alimentaires, les ouvriers sont, plus fréquemment que dans les autres industries, exposés à des conditions de pénibilité.
On compte 2 989 800 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie 1 à la fin du mois de mars 1998.
L’année 1997 se caractérise par une reprise de l’activité économique et des créations d’emplois, qui sont particulièrement nombreuses en fin d’année : en un an, les effectifs occupés ont augmenté de 170 000 personnes.
Le salaire minimum interprofessionnel de croissance - le SMIC - a été instauré par la loi du 2 janvier 1970 , se substituant au SMIG (salaire minimum garanti), afin d'assurer aux salariés dont les rémunérations sont les plus faibles une participation au développement économique de la Nation
Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi augmente de 1,1 %. A la fin du mois d'avril 1986, le nombre de DEFM (catégorie 1, inscrits à l'ANPE) s'élève à 2 371 600 en données brutes et 2 429 000 en données corrigées des variations saisonnières.
Les contraintes de rythme de travail, leurs sources, leurs modalités ainsi que différents types de nuisances et risques perçus par les salariés dans l'environnement de leur travail.