L’exposition aux produits cancérogènes dans le travail en 1994
- 13 juillet 1998
- Dares Résultats N°31.2
9 % des salariés seraient exposés pendant leur travail à des produits estimés cancérogènes pour l'homme.
12 résultats
9 % des salariés seraient exposés pendant leur travail à des produits estimés cancérogènes pour l'homme.
En 1997, les salariés du secteur privé et semi-public dans les établissements de 10 salariés et plus ont perçu, en moyenne, 13,6 % de leur rémunération sous forme de primes.
En 1994, pour adapter leur volume de travail aux variations d’activité, les entreprises du secteur marchand ont à leur disposition trois principaux outils de flexibilité interne.
La tendance à externaliser de plus en plus la fonction transport dans l’industrie et la grande distribution s’est poursuivie au cours de la période 1990-1997, au profit des entreprises du transport routier de marchandises.
Depuis la fin des années soixante-dix, de profonds bouleversements internes sont apparus dans la construction.
En octobre 1997, le gain mensuel brut moyen perçu par un salarié à temps complet s’élève à 12 080 francs, primes non mensuelles exclues.
En 1995, en moyenne, 20 % environ des contrats en alternance (apprentissage, qualification, adaptation) sont rompus avant leur terme.
La mise en œuvre des nouvelles grilles de classification dites « à critères classant » en 1990 ne bouleverse pas la hiérarchie des emplois dans les entreprises et a peu d’effets sur la masse salariale, même lorsque les délégués syndicaux y sont associés.
Depuis 1993, le recours au chômage partiel est en diminution tendancielle : on est ainsi passé de 24 millions de journées demandées en 1993 à 7,4 millions en 1997.
Depuis le début des années quatre-vingt-dix, le nombre d’emplois a évolué très différemment suivant les professions, à la hausse pour la plupart des catégories de cadres et de techniciens, à la baisse pour les ouvriers non qualifiés.