Les entrées dans les contrats initiative emploi : une progression de 25 % en 2003
- 26 août 2004
- Dares Résultats N°36.1
En 2003, le nombre d'entrées dans les contrats initiative emploi (CIE) progresse de 25 %, pour s'établir à 65 000.
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En 2003, le nombre d'entrées dans les contrats initiative emploi (CIE) progresse de 25 %, pour s'établir à 65 000.
Plus de jeunes, moins de diplômés et plus de RMIstes qu'ailleurs.
En 2002, environ 9 000 établissements ont bénéficié d'une exonération de cotisations sociales patronales liée à leur implantation dans une des 38 zones franches urbaines (ZFU) de France métropolitaine
En juin 2004, l'emploi salarié progresse de 0,1 % dans l'ensemble des secteurs concurrentiels.
L'indice du salaire mensuel de base de l'ensemble des salariés (SMB) progresse de 0,6 % au deuxième trimestre 2004 et de 2,5 % sur un an.
En 2002, dans les établissements de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, la rémunération mensuelle brute moyenne d'un salarié à temps complet s'élevait à 2 430 euros, soit 2,6 % de plus qu'en 2001.
Pour faire face aux creux et aux pics d'activité, les employeurs recourent principalement aux heures supplémentaires, aux CDD et à l'intérim.
En juin 2004, le nombre de demandeurs d'emploi en fin de mois en catégorie 1 augmente de 0,1 %.
En 2003, trois ans après leur sortie du dispositif, les anciens bénéficiaires de la politique de l'emploi n'en sont pas au même stade.
Dans l'ensemble des entreprises appliquant un accord, un salarié sur quatre n'a touché aucune prime d'intéressement en 1991, au lieu d'un sur dix seulement en 1990. Pour les bénéficiaires, la prime moyenne reçue a baissé d'environ 10 %.