Quel recours des jeunes au service public de l’emploi ?
- 19 juillet 2022
- Document d'études N°260
16 % des jeunes qui occupent un emploi sont suivis par le Service public de l’emploi, dont 3 sur 4 sont inscrits à Pôle emploi.
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16 % des jeunes qui occupent un emploi sont suivis par le Service public de l’emploi, dont 3 sur 4 sont inscrits à Pôle emploi.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS sortant d’études en 2019, 72 % occupent un emploi salarié dans le secteur privé deux ans après leur sortie d’études, en juillet 2021, soit une part plus élevée que pour la génération précédente (67 %).
Plus de 8 jeunes sur 10 passés par un contrat aidé, une école de la deuxième chance ou un établissement pour l’insertion dans l’emploi entre 2013 et 2015, sont en contact avec l’un ou l’autre des deux opérateurs du SPE, que ce soit avant ou après leur passage dans le dispositif.
Cet article teste l’hypothèse selon laquelle les différents types d’intermédiation mis en œuvre entre la mission locale et l’employeur donneraient lieu à des parcours plus ou moins bien valorisés par ces acteurs mais aussi par les jeunes bénéficiaires.
En juillet 2021, un an après leur sortie d’études, l’insertion professionnelle des apprentis et lycéens professionnels de niveau CAP à BTS s’est nettement améliorée par rapport à leur situation en janvier 2021.
Les recruteurs embauchant un jeune candidat citent plus souvent le dynamisme, la présentation, l’opérationnalité, la motivation, la disponibilité ou encore la formation comme principaux critères ayant motivé leur choix.
De mars à décembre 2020, 757 PSE sont initiés.
Dans un contexte économique marqué par la crise sanitaire du Covid-19, 610 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) sont mis en œuvre en 2020 (après 490 en 2019).
38 % d’entre eux sont inscrits à Pôle emploi. 27 % privilégient d’autres intermédiaires de placement, publics ou privés, qui comprennent en particulier les missions locales.