L'emploi intérimaire au 3e trimestre 2012
- 21 décembre 2012
- Dares Indicateurs N°098
A la fin du 3e trimestre 2012, 516 400 salariés sont intérimaires, soit un recul de 31 300 postes par rapport au trimestre précédent (-5,7 %).
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A la fin du 3e trimestre 2012, 516 400 salariés sont intérimaires, soit un recul de 31 300 postes par rapport au trimestre précédent (-5,7 %).
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
À la fin du 2e trimestre 2012, 548 800 salariés sont intérimaires, soit un recul de 18 900 postes par rapport au trimestre précédent (-3,3 %).
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
À la fin du 1er trimestre 2012, 567 600 salariés sont intérimaires, un nombre quasiment stable par rapport au trimestre précédent (-700 postes, soit -0,1 %).
Avec 576 100 intérimaires en équivalent-emplois à temps plein en 2011, le volume de travail temporaire a progressé de 9,3 % par rapport à 2010.
En dépit d’un climat conjoncturel défavorable, l’activité économique en France a continué de progresser au 4e trimestre 2011 : +0,2 % en variation trimestrielle, après une hausse de +0,3 % au trimestre précédent.
À la fin du quatrième trimestre 2011, 568 900 salariés sont intérimaires, soit un recul de 21 100 postes par rapport au trimestre précédent (-3,6 %).
La progression du travail temporaire s'est poursuivie à un rythme rapide au premier semestre 1998, même si elle s'est légèrement ralentie depuis quelques mois.
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.